Diego Simeone a mis l'accent il y a quelques jours, depuis la défaite en Arabie saoudite, sur l'engagement que son équipe a ce jeudi, un nouveau choc contre l'équipe de Carlo Ancelotti, capable de sortir les griffes après avoir vécu le pire. C'est ce qui s'est passé à Riyad et c'est ce que l'Atlético de Madrid tentera d'éviter. Contrairement à la semaine dernière, la majorité du public sera acquis à la cause de l'Atlético en raison du lieu.

Supercoupe d'Espagne : "Nous avons fait un bon match pendant 90 minutes. Ils ont réussi à gagner grâce à leur jeu et à se qualifier pour une finale dont ils sont sortis champions. Nous avons une nouvelle opportunité et nous travaillons bien."

La condition physique : "Nous avons mal résolu une action, celle où Savic a marqué contre nous. Tout nous aide à nous améliorer. J'espère que nous pourrons y remédier. Ils ont des joueurs comme Kroos, Joselu, Bellingham et Rüdiger qui sont physiquement forts. Nous avons des joueurs un peu plus petits. Mais la capacité et la qualité se trouvent dans la vitesse mentale, pas dans les jambes."

Le derbi : "Il est clair que ce n'est pas un derbi comme les autres, notamment parce qu'il y a un barrage entre les deux. Il n'y a pas de marge, ni pour eux ni pour nous. Nous avons besoin de notre équipe et de l'ambiance habituelle du Metropolitano."

Le scénario : "Nous allons leur faire mal. Ils auront l'énergie positive de ces victoires. Ils sont dans un grand moment de forme et nous allons rencontrer le meilleur rival."

Le manque de solidité en défense : "Ce n'est pas collectif. Nous devons nous améliorer individuellement. On a beau se creuser les méninges, à la fin, ce sont toujours des duels. Et celui qui en gagne le plus, et ce n'est pas seulement le nombre qui est important, a le plus de chances de gagner le match."

Les leçons apprises : "Nous avons devant nous un adversaire qui joue bien et qui est très dangereux dans l'espace. Il a aussi la capacité de résoudre les problèmes sans avoir le contrôle. Ce n'est pas de la chance, mais de la hiérarchie."